Violon

Violon entier.
La table est en deux pièces assemblées, en épicéa à pores moyens.
Son fond est en une pièce, en érable à ondes moyennes et vives.
Le fond est chevillé aux tasseaux (haut et bas), celle du bas est d’origine. Suite à sa “défenestration”, il a reçu quatre pièces rapportées, le talon et la cheville ont été remplacés.
Les éclisses sont en érable ondé, à onde moyennes et vives.
Les filets de la table et du fond sont en ébène et érable ou bois blanc (noir-blanc-noir).
Le manche et la tête ne sont pas d’origine et sont en érable ondé à ondes moyennes et vives.
Le vernis est jaune doré à orange-rouge, transparent.
La touche, le cordier, les sillets et le bouton sont en ébène.
Les chevilles sont en ébène, avec des olives en nacre.
Le violon porte les armoiries de la maison royale de France, peintes sur le vernis. L’auteur est anonyme.

Sur le fond, partiellement effacé, en lettres dorées sur une banderole foncée : « Musique de la Chapelle du Roi », et au milieu en lettres dorées « L’AN / 1823 ». Au centre : écu d’azur à trois fleurs de lys d’or, coiffé d’une couronne d’or en cimier et cerclé du collier à la Croix de Saint Louis.
Sur la table, aux quatre coins : une fleur de lys (très effacée sur le côté droit).
Le violon est monté avec un chevalet en érable, trois cordes en boyau et une corde sol boyau fileté de métal.
Il porte une étiquette collée à l’intérieur sur le fond : « Nicolas Lupot, Luthier, rue Croix-des / petits-champs, à Paris, l’an 1820 ».

La table est en deux pièces assemblées, en épicéa à pores moyens.
Son fond est en une pièce, en érable à ondes moyennes et vives.
Le fond est chevillé aux tasseaux (haut et bas), celle du bas est d’origine. Suite à sa “défenestration”, il a reçu quatre pièces rapportées, le talon et la cheville ont été remplacés.
Les éclisses sont en érable ondé, à onde moyennes et vives.
Les filets de la table et du fond sont en ébène et érable ou bois blanc (noir-blanc-noir).
Le manche et la tête ne sont pas d’origine et sont en érable ondé à ondes moyennes et vives.
Le vernis est jaune doré à orange-rouge, transparent.
La touche, le cordier, les sillets et le bouton sont en ébène.
Le violon porte les armoiries peintes de la maison royale de France sur le vernis. L’auteur est anonyme.
Sur le fond, partiellement effacé, en lettres dorées sur une banderole foncée : « Musique de la Chapelle du Roi », et au milieu en lettres dorées « L’AN / 1823 ». Au centre : écu d’azur à trois

fleurs de lys d’or, coiffé d’une couronne d’or en cimier et cerclé du collier à la Croix de Saint Louis.
Sur la table, aux quatre coins : une fleur de lys (très effacée sur le côté droit).
Le chevalet est en érable.
Le violon est monté avec des trois cordes en boyau et une corde sol en métal et tendu par quatre chevilles en ébène “boudin” à olive nacrée.
Il porte une étiquette collée sur le fond : « Nicolas Lupot, Luthier, rue Croix-des / petits-champs, à Paris, l’an 1820 ».

La table est en deux pièces assemblées, en épicéa à pores moyens.
Son fond est en une pièce, en érable à ondes moyennes et vives.
Le fond est chevillé aux tasseaux (haut et bas), celle du bas est d’origine. Suite à sa “défenestration”, il a reçu quatre pièces rapportées, le talon et la cheville ont été remplacés.
Les éclisses sont en érable ondé, à onde moyennes et vives.
Les filets de la table et du fond sont en ébène et érable ou bois blanc (noir-blanc-noir).
Le manche et la tête ne sont pas d’origine et sont en érable ondé à ondes moyennes et vives.
La touche, le cordier, les sillets et le bouton sont en ébène.
Le vernis est jaune doré à orange-rouge, transparent.
Sur le vernis, le violon porte les armoiries peintes de la maison royale de France, l’auteur est anonyme.
Sur le fond, partiellement effacé, en lettres dorées sur une banderole foncée : « Musique de la Chapelle du Roi », et au milieu en lettres dorées « L’AN / 1823 ». Au centre : écu d’azur à trois

fleurs de lys d’or, coiffé d’une couronne d’or en cimier et cerclé du collier à la Croix de Saint Louis.
Sur la table, aux quatre coins : une fleur de lys (très effacée sur le côté droit).
Le chevalet est en érable.
Le violon est monté avec des trois cordes en boyau et une corde sol en métal et tendu par quatre chevilles en ébène “boudin” à olive nacrée.
Il porte une étiquette collée sur le fond : « Nicolas Lupot, Luthier, rue Croix-des / petits-champs, à Paris, l’an 1820 ».

La table est en deux pièces assemblées, en épicéa à pores moyens.
Son fond est en une pièce, en érable à ondes moyennes et vives.
Le fond est chevillé aux tasseaux (haut et bas), celle du bas est d’origine. Suite à sa “défenestration”, il a reçu quatre pièces rapportées, le talon et sa cheville ont été remplacés.
Les éclisses sont en érable ondé, à onde moyennes et vives.
Les filets de la table et du fond sont en ébène et érable ou bois blanc (noir-blanc-noir).
Le manche et la tête ne sont pas d’origine et sont en érable ondé à ondes moyennes et vives.
La touche, le cordier, les sillets et le bouton sont en ébène.
Le vernis va du jaune doré à la prune rougie.
Sur le vernis, le violon porte les armoiries peintes de la maison royale de France, l’auteur est anonyme.
Sur le fond, partiellement effacé, en lettres dorées sur une banderole foncée : « Musique de la Chapelle du Roi », et au milieu en lettres dorées « L’AN / 1823 ». Au centre : écu d’azur à trois

fleurs de lys d’or, coiffé d’une couronne d’or en cimier et cerclé du collier à la Croix de Saint Louis.
Sur la table, aux quatre coins : une fleur de lys (très effacée sur le côté droit).
Le chevalet est en érable.
Le violon est monté avec des trois cordes en boyau et une corde sol en métal et tendu par quatre chevilles en ébène “boudin” à olive nacrée.
Il porte une étiquette collée sur le fond : « Nicolas Lupot, Luthier, rue Croix-des / petits-champs, à Paris, l’an 1820 ».